se dire que Robert Smith alors, le vrai, vivait comme ça, était comme ça, plus souvent à la glace que sur les scènes donc, une vie étrange, une vie de maquillage, une vie à cache-cache, et qu’on aurait pu le croiser dans les rayons du petit supermarché de M*** sans réaliser que cet homme planté longtemps devant les mascaras dans le rayon réservé par habitude aux filles, c’était lui.