Il y aura toujours du chagrin, pour Hamid ou pour quelqu’un d’autre. Qu’ils t’aiment ou non, tu ressentiras toujours une sorte de souffrance. Ce qui compte c’est de tenir ces chagrins bien séparés les uns des autres, de ne pas les laisser former une masse compacte, si lourde que tu ne pourrais plus la porter.