Le monde d’aujourd’hui est régi par des systèmes monétaires et non par des systèmes nationaux de crédit. Un peu de jugeote permet de rejeter sine die un système monétaire international. Il est préférable que les États-nations souverains possèdent leur propre système de crédit, qui est celui de leur devise. Mais la possibilité de créer pour chaque État un crédit non inflationniste dirigé vers la production, un droit clairement affiché dans la Constitution américaine, ne figure pas dans le Traité de Maastricht en tant que méthode de gestion des politiques économiques et financières.