On meurt souvent d’une rétention de quelque chose. Rétention d’orgueil et de silence comme tu le sens toi-même. Rétention de douleur, de haine ou de ran
cune, d’amour également. Tout ce qui ne passe pas à travers toi, tout ce que tu emprisonnes en toi et ne transformes pas dans l’athanor de ton cœur devient un poison que tu absorbes.