Le sage est alors capable d’agir avec la fulgurance de l’éclair car la pensée dualisante ne le paralyse plus. Ses actes sont instantanés et porteurs de lumière, c’est ce qu’on appelle le non-agir. La sixième conscience est court-circuitée, l’inconscient n’est plus ensemencé, tout le frémissement des sens vient constamment réjouir la conscience duquel tout mouvement émane.