Le grand doute planant sur son devenir amoureux s’interposa définitivement. Le sacrifice sur l’autel d’un espoir (malheureusement, toujours diffus) aux dépens de son besoin de pratique sexuelle, son apprentissage, ses divagations, mais… le désir, cet apogée insaisissable, ce flou qui trouble et bouleverse… L’abstinence, férocement desséchante, brisait toute spontanéité, mais renforçait en échange son esprit rudoyé.