Le malheur et l’étrange se mêlent sans arrêt à la cocasserie du non-sens. J’avoue que je me sens très proche de ce mélange de genre où règnent l’ambiguïté et les ruptures de sens. Quand Alain Resnais m’a dit qu’il s’agissait d’Ayckbourn, j’ai tout de suite été ravi, pensant comme lui que tout ce qui est drôle est profond et que le tragique est souvent très drôle.
(Entretien avec Jean-Michel Ribes)