Le sentiment de perte ne m’avait pas quittée, mais ma peur avait disparu. Allez savoir pourquoi, l’observation d’un petit miracle ornithologique m’avait fait reprendre contact avec moi-même et m’avait insufflé assez d’énergie pour que je sorte de ma léthargie. J’étais prête à rembarquer dans le bulldozer de la vie.