Elle aimait à se prétendre femme libérée, n’ayant besoin d’aucune attache, s’autorisant aussi, quand l’envie lui en prenait, des aventures saphiques. Elle avait, il fallait l’avouer, de sérieux arguments pour alpaguer les proies des deux sexes, son physique déjà avantageux ayant été agrémenté quelques années auparavant d’une paire de prothèses mammaires qui aurait rendu idiot Einstein lui-même…