Comme toujours , Louis Marquez était arrivé à l'improviste . En tendant le bras , sous prétexte de secouer la cendre de sa cigarette au-dessus d'un cendrier , il en avait profité pour pour frôler les fesses de Marjorie . Ses vêtements bon marché dégageaient des relents de sueur et de tabac . On avait envie de prendre un bain rien qu'après avoir serré sa main moite . Grace garda le silence . Elle aurait adoré le mettre à la porte , mais elle n'avait pas le choix .
Il ne lui restait plus que neuf mois de sursis . Ensuite , le cauchemar serait terminé . P. 163