« Tu m’as montré le Ciel : C’est en suivant ta trace,
Que j’ai compris de Dieu la puissance et la grâce.
D’humble et d’esclave, un jour tu m’as fait libre et fort ;
Tu m’ouvris les sentiers qui conduisent au port…
Car que ne peux-tu pas, ô chère et sainte Dame !
Veille sur moi ; c’est peu d’avoir sauvé mon âme ;
Rends-la digne de toi, quand, du milieu des morts,
Cette âme aura quitté les vils liens du corps !... »
Paradis, XXXI