(...) il retrouva dans le calme et la grandeur de l'océan cet amour de la mer qu'il avait dans le sang avant même qu'il fût né. La mer, avec ses dangers et sa splendeur, porte, dans son sein, la grandeur incommensurable des choses inconnues. Ici, peut-être, lorsque le vent et les vagues se mettraient à hurler, il pourrait retrouver l'oubli et avec lui la joie de vivre.