Selon elle, les " douces violences" se mettent en place lorsque l'adulte, non conscient, ne prend pas en considération l'attente des enfants et impose sa décision, par des paroles, des gestes ou ne serait-ce qu'un regard. Elles sont de courte durée et invisibles loin des actes de brutalité manifestent. Des humiliations quotidiennes qui peuvent paraître anodines, comme de mettre un enfant à l'isolement, l'obliger à rester assis sur sa chaise, lui adresser des propos dévalorisants ou ne pas lui expliquer ce qu'on lui fait.