Dave Chua

Je n'ai pas été convaincu par « l'homme de la maison ». Le récit est beaucoup trop contemplatif à mon goût et il faut se perdre dans tous ces petits riens qui semblent donner un sens à l'existence. Or, je n'ai guère ressenti de l'émotion à travers ces tranches de vie d'un adolescent vivant à Singapour.



Il est pourtant rare de rencontrer des récits se situant dans cette ville peu ordinaire. J'avais été attiré en pensant que j'en apprendrais un peu plus d'où une certaine déception. Cependant, on a eu droit à une longue routine. Dommage car c'était également bien dessiné.

Profond et d'une grande richesse psychologique, L'homme de la maison offre une plongée fascinante sur un petit point du monde méconnu et ses habitants.
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Je n'ai pas tellement apprécié cette lecture.



Il ne s'est pas passé grand chose tout au long du roman et je me suis ennuyé. Même si je ne m'attendais pas à une montagne de bouleversements, j'ai trouvé l'histoire un peu fade.



Je ne suis sans doute pas la cible, car cette histoire pourra faire écho à certaines personnes vu qu'il s'agit d'une tranche de vie.



Cependant les graphismes sont très beaux et c'est ce qui m'avait attiré en premier lieu.

Récit du quotidien, L’Homme de la maison est une promenade en immersion dans la société singapourienne (...) déployant un trait clair et élégant dont l’excellence de la monochromie évoque celle d’un Adrian Tomine.
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