En écrasant le petit mégot de la troisième cigarette, en me tournant vers la paroi branlante, en remontant mon col contre mes joues, j'ai enfin pu laisser cet homme dans son couloir, celui de sa vie, avec toutes les portes qu'il était libre d'ouvrir ou de laisser fermées, et dont une au moins donnait sur le vide - dans quoi il pouvait sauter après s'être noué, comme une écharpe, tout le couloir autour du cou.