Flanagan n’est certainement plus l’homme qu’il a été. Un costaud certes, mais vieillissant et trainant en chaussons dans l’arrière-salle d’un bordel des docks. Il a dû prendre vingt kilos depuis son passé de sportif, et les marques de son visage trahissent les excès d’une vie de débauche.
Cependant un boxeur reste un boxeur et ses yeux, eux, n’ont pas changés.