Mr.Tebrick, resté seul, éprouva un plaisir extrême à se retrouver dans la solitude ; il lui semblait avoir compris le vrai bonheur, et trouvé le parfait contentement en vivant ainsi au jour le jour, insouciant de l’avenir, entouré chaque matin de petites créatures enjouées et affectueuses qu’il aimait tendrement, et assis près de leur mère dont le bonheur ingénu était la source du sien.