Tout au long du Camino, on voit dans les églises des statues de Santiago Matamoros, saint Jacques le pourfendeur des Maures, qui le représentent en guerrier à cheval, brandissant son épée et piétinant les cadavres d'infidèles basanés aux grosses lèvres. Ces statues pourraient causer quelque embarras si jamais le principe du "politiquement correct" débarquait en Espagne.