A un certain moment, au cours des années 60, l'enfer a disparu. Personne n'aurait pu dire exactement quand c'était arrivé. Tout d'abord il était là, puis il n'y était plus. [...] Par enfer, nous parlons naturellement du traditionnel enfer de l'Eglise catholique romaine, cet endroit où l'on brûle pour l'éternité si on a le malheur de mourir en tat de péché mortel.
En général la disparition de l'enfer fut un grand soulagement même si elle apporta de nouveaux problèmes.