Le dialogue prend alors la forme d’un échange subtil. Quand on pense qu’il s’agit de faux, personne ne le mentionne. On s’exprime d’une telle manière que le faussaire doit deviner que le marchand sait ; au marchand, à son tour, de deviner que le faussaire sait. Ils se retrouvent à égalité. A chacun de jouer sa partie dans ce sketch qui ne trompe qu’un client innocent.