Sa mère, Sarita, avait déjà ouvert la porte du royaume des épices, comme elle le faisait chaque matin. Au dehors, ces senteurs se heurtaient à la puanteur des fientes de poules, aux relents des crottes de chiens qui, la nuit, traversaient la cour. Elles s’étendaient comme un sari de soie sur le corps délabré d’une vieille femme. (pages 8-9)