Faute d’aurore boréale, la voûte céleste brillait de tous ses feux : des milliards d’étoiles, plus nombreuses que les grains de sable de toutes les plages de la planète réunies, disséminées sur des milliers ’années-lumière dans le silence de la nuit, jusqu’aux portes d’un univers dont les astres les plus lointains côtoyaient un vide inconcevable pour l’entendement humain.