Ça devait être douloureux. Je le voyais chez les gens. Je l’avais ressenti moi-même. Quelle autre raison aurait un homme qui rentre du Viêt-Nam, passe des décennies à bâtir des entreprises et à les vendre, épouse une gentille femme et a quatre filles, alors qu’il est à l’heure de prendre sa retraite, de faire ses bagages pour retourner dans une zone de guerre ?