Je suis toujours mal à l'aise avec l'idée de destin parce que je crois très profondément à la notion de libre arbitre. Selon moi, nous faisons le choix d'être passifs ou actifs, de suivre notre conscience ou de l'ignorer, d'user de notre liberté pour le meilleur ou pour le pire. Mais ma mère, elle, était persuadée que mon chemin avait été prédéterminé.