5. « Il est fréquent que des troubles psychiatriques induisent l'usage de substances psychoactives, comme une manière d'automédication. Dans ce contexte, l'installation d'une dépendance psychologique est souvent très rapide. De plus, les pathologies psychiatriques sous-jacentes doivent évidemment être prises en compte dans le traitement proposé à la personne devenue dépendante. Il en est ainsi pour : l'anxiété et la dépression […], la schizophrénie […], les troubles bipolaires [...] » (pp. 318-319)