Normalement, tout soldat avait le droit de conserver le fruit de son pillage. La marine avait son propre système de redistribution des prises. Toutefois, la marine était la marine; les équipages fonctionnaient davantage comme des entités isolées, ce qui n’était pas le cas des compagnies de l’armée. Des tribunaux maritimes s’occupaient de la vente des navires saisis à l’ennemi.