La mort avait emporté l’un de ses amants, la trahison l’avait éloigné d’un autre. Le troisième…Il pinça les lèvres. Pouvait-on appeler « amant » un homme qui ne vous embrasserait jamais, que la seule idée de vous toucher répugnait ? Non. En revanche, comment définir un homme dont l’esprit touchait le vôtre, dont l’amitié épineuse était un présent, dont le tempérament et l’existence donnaient un sens aux vôtres ?