- Tu ne pouvais pas pleurer quand les enfants sont partis, ni pour ta maison, ni pour ton petit jardin, ni pour la pauvre jeune fille et son bébé. Mais tu pleures pour ton chat parce que tu sais que tu pourras t'arrêter.
- D'où tiens-tu ça ?
- Parce que moi non plus je ne peux pas pleurer sur toutes ces choses, Sassenach, et je n'ai pas de chat.