(...) je peux lui dire, sans faiblir, que je crois à l’immortalité de l’âme. L’âme ne meurt pas, ma fille, tu seras toujours avec nous, ma chérie, là, mais ailleurs.
« Juste de l’autre côté du chemin », a écrit un prêtre anglican, dans un texte qu’on lit souvent pour les obsèques.