Il est si inspiré par sa nouvelle paternité qu'il écrit un nouveau single, Dieu que c'est beau, dont la force rythmique et la puissance poétique sont incroyables. Entre Peter Gabriel, pour les chœurs ethniques, et Talking Heads pour le climat de l’arrangement, Balavoine trouve sa raison d'être et de créer. Le son est énorme. Le texte abrasif et métaphorique. Le public ne s'y trompe pas. C'est un tube.