D'aucun prétendent que rien ne presse et qu'il sera toujours temps de rencontrer un maïtre et de pratiquer. Cette vision des choses conduit à négliger le dharma au profit des préoccupations mondaines. La mort n'est alors que la la misérable conclusion d'une vie inutile.
Quand revient le temps des semailles, les paysans n'ajournent par leur tâche et se mettent immédiatement à l'ouvrage. De même, lorsque toutes les conditions favorables à la pratique se trouvent réunies, il faut rassembler son énergie sans plus tarder et pratiquer.