Ce qui m’importe, et ça se voit assez clairement dans mes livres, c’est qu’on comprenne bien que le bizarre, l’asocialou le borderline, il appartient à l’espèce humaine lui aussi, et que pour cette raison, il convient d’essayer de le comprendre, voire de lui pardonner, quand bien même son comportement nous paraîtrait délirant, sinon immoral. Car il a de bonnes raisons d’être ainsi fait, et il ne nous doit absolument rien.