Il y a quelque chose de perturbant dans le printemps à Washington, comme un conte édifiant mettant en garde contre une trop grande complaisance et des attentes trop fortes, qui semblent inscrites dans l’herbe et dans les arbres. Je croyais avoir appris depuis longtemps à juguler ces attentes, mais ça n’empêche rien, pars vrai ? Nous oublions qui nous sommes et d’où nous venons, et nous croyons avoir droit à beaucoup plus que ce que l’on mérite