Le 1er juillet, le massacre devint général; ils déchiraient les enfants mâles dans les bras de leurs mères et martyrisaient les maris sur les genoux de leurs femmes, avec des marteaux et des instruments de torture. Des massacreurs se portèrent ensuite au Sérail, où se trouvaient cinq cent jeunes gens, l'élite, la fleur de la population : les officiers turcs leur en ouvrirent les portes, et bientôt ces malheureux ne formèrent plus qu'un monceau de cadavres.