Accepter de ne pas tout contrôler et d'avoir à faire face à ses peurs lorsque le danger surviendra dans la réalité, c'est faire l'économie de l'anxiété, ne pas ajouter de la peur à la peur, et laisser le champ libre à la joie; c'est le parti pris du fataliste qui affirme « On verra bien! » ou de l'optimiste qui pense que « ça va s'arranger ».