Les civilisations se sont succédé en Sicile, sans que la naissance de l’une entraînât la mort de l’autre. Elles coïncident encore. Elles ont décliné et disparu l’une après l’autre, tout en restant présentes. Chacune, en s’éteignant, a transmis un peu de sa splendeur à l’autre. Chaque crépuscule a laissé ses dorures.