Totalement désarmés, des centaines de manifestants ont été précipités dans la Seine par des flics aux ordres de l'État français, mercenaires d'un régime colonial moribond qui, de l'autre côté de la Méditerranée, enlevait, torturait, assassinait les militants de l'indépendance algérienne et ceux qui les soutenaient comme Maurice Audin, Fernand Iveton.