Dominique Guenin

Un roman multigenre pour une enquête passionnante : l’auteur reprend le thème du découvreur incompris par sa communauté (comme on le voit chez Jules Verne ou Barjavel), pour nous entraîner dans une aventure incroyable, faite de rebondissements, de retours en arrière, de découvertes singulières et de méfaits impunis. Les personnages sont abondants et bien campés. Dominique Guenin ancre une fiction, basée sur une interrogation légitime, dans un récit historique et scientifique extrêmement documenté, ce qui donne à ce roman une belle consistance. Elle prend le temps d’entrecouper une enquête menée tambour battant, par des récits de légendes qui permettent au lecteur de reprendre son souffle et mieux intégrer son propos. On a envie d’y croire !

Sans aucun doute Dominique Guenin est une férue d'archéologie, ce qui rend d'autant ce roman passionnant car rien n'est laissé au hasard. Il s'agit d'une quête, mais c'est avec brio que l'auteur sait relancer son histoire et nous donne envie de tourner les pages et de suivre ses personnages. A cela s'ajoute son style, précis, ciselé, et franchement c'est un gros plus pour le livre, car nous voilà bien devant une véritable auteure qui sait magner la langue et c'est très appréciable et assez rare de nos jours. Plonger vous dans les gardiens du sceau, ce livre est un très bon livre, je le conseille vivement.

Commençons par ce qui fâche vraiment, la couverture. Je ne suis vraiment, mais vraiment pas fan de ce genre de couvertures. Il aurait mieux valu juste utiliser le dessin de la fille, qui est en plus très joli au naturel, tout seul (il est visible sur le site de l'auteure, ici). Parce que, franchement, la superposition de la couverture officielle ne lui rend pas du tout honneur, ça fait très brouillon, personnellement ça ne me donne pas du tout envie d'ouvrir le livre.

Pareil pour les polices choisies, elles sont un tout petit peu hideuses. L'ombre portée, les reflets, tout ça fait présentation power point des années 90 et on voit directement qu'il s'agit d'auto-édition, ce qui est bien entendu un mauvais point.

Mais bon, vous connaissez l'adage et ne je jugez pas un livre à sa couverture, bande de vauriens.



Entrons donc sans plus attendre dans le vif du sujet et évitons qu'il n'y ait, comme dans ce roman, un peu trop de longueurs... Toute la partie intéressante de l'histoire se déroule sur les 50 dernières pages (grosso modo). On ne la voit pas avancer, et pour cause, elle ne le fait pas. A cause de ça j'ai mis énormément de temps à finir ce livre (près d'un mois) ce qui n'est quand même pas si courant.



J'aimerais m’arrêter un instant sur certaines choses qui m'ont dérangées : Gohrmicia a beau être une grande prêtresse elle réagit souvent de façon totalement débile, alors que Duist qui est un étranger qui ne connaît rien à ses coutumes semble comprendre les choses bien plus vite qu'elle.

On se dit assez régulièrement que soit elle n'est vraiment pas taillée pour sa « profession », soit elle fait la petite chose fragile pour que Duist lui vienne en aide, ce qui est dans un cas comme l'autre assez chiant.



[SPOILER ALERT]Aussi, tout ce foin sur la foret dont personne n'est jamais revenu vivant... On insiste lourdement durant toute la première partie du roman la dessus, c'est dangereux, bla bla bla, ceux qui y sont entrés n'en sont jamais revenus, blablabla et pourtant quand Duist et Gohrmicia vont devoir y entrer à leur tour, au moment où on se dit qu'ils vont rester bloqués, que ça va faire comme dans le Hobbit avec la foret qui rend fou, bah en fait non, ils en sortent sans le moindre soucis dix minutes après, on a même pas le temps de frémir pour eux. Bon, on pourra me répondre qu'ils ne s'étaient pas enfoncés très loin, ok. Pourtant la prêtresse a un gros coup de flippe quand elle voit que son ami a dépassé la limite autorisée. Ensuite, bien plus loin dans l'histoire tout les habitants partit pour la secourir vont eux aussi en sortir sans le moindre problème... Bon, entre temps on a bien évoqué la possibilité que ce soit le méchant mage qui capture les marcheurs égarés pour les lobotomiser mais il n’a pas confirmé cette théorie, du coup il n'y a toujours rien de sur mais tout le monde s'en fiche et sort de là sans la moindre difficulté. C'était bien la peine de nous faire une tête comme ça ! [FIN DU SPOILER]



Les personnages secondaires quant à eux sont énervants tant ils sont inutiles et se cantonnent à leur genre. Les filles font les filles, elles rassurent machin, se taisent, ne dégainent pas leur arc assez vite en cas de danger, etc. Et les garçons font les garçons, ils chahutent, rient, font les fous... Ça devient chiant dés la deuxième fois. Ils agissent à chaque fois exactement comme on s'attend à les voir réagir, non pas en fonction de leur caractère (ils sont tous interchangeable, à part celui à qui il va arriver un truc qui le rendra identifiable) mais bien de leur sexe.

Et ça c'est un truc que je ne supporte plus du tout.



Aussi, Duist est vraiment énervant à être aussi parfait. C'est très très difficile de s'attacher à lui.



L'histoire n'est pas mauvaise en soi mais à aucun moment je n'ai frémi pour les héros. Il était évident qu'aucun des deux ne risquait rien malgré la prophétie et il est évident que dans le tome deux tout va s'arranger.



En fait je suis assez embêtée car je n'arrive pas à savoir ce qui manque à ce livre. Dans énormément d'histoires on sait avant de commencer que les héros réussiront (tout le monde ne tue pas la moitié de son casting comme King ou Martin) et pourtant on arrive quand même à avoir peur pour eux, à douter de leur réussite. Or ici ce n'était nullement le cas.



Les actions non importantes sont aussi beaucoup trop longues. Sincèrement je crois qu'on peut saisir tout ce qui est important en passant directement aux 100 dernières pages après avoir lu le premier chapitre.

La lecture n'est pas désagréable mais on a l'impression de ne pas avancer ce qui empêche de la rendre agréable.



Donc, si les personnages principaux étaient un peu plus finis, si les secondaires faisaient autre chose que de la figuration et si le méchant avait un peu plus de personnalité il y aurait moyen d'en faire une histoire de fantasy plutôt correcte.

Pour moi cette histoire, comme elle est à l'heure actuelle, n'est pas terminée. Certains chapitres mériteraient d'être retravaillés et le quotient sympathie de beaucoup de personnages d'être augmenté.

Et bien sur les fautes d'être corrigées (moins que dans d'autres romans auto-édités mais trop quand même).



Quelques détails qu'il n'était pas forcément utile de relever mais qui m'ont fait tiquer :

Qui a ferré Proteegasth, le centaure ? Et pourquoi ? Il vit dans la foret, c'est un peu inutile.

P78. « Les petits sauvages sont-ils végétariens ou cannibales ? » Vu qu'ils ne sont de toutes façons pas humain le fait d'en manger ne ferait pas d'eux des cannibales mais juste des carnivores/omnivores. Et même en ne mangeant pas d'humains ils n'en sont pas pour autant végétariens puisqu'ils peuvent très bien chasser ou pécher des animaux.

Mais là c'est la chieuse en moi qui parle.
Lien : http://www.kobaitchi.com/arc..

Un livre intéressant et instructif sur fond d'exploitation des terres rares en Chine. J'ai été particulièrement charmé par certaines descriptions, Dominique Guenin a un réel talent en la matière.

Mon principal bémol est la présence de notes de bas de page qui ralentissent le récit, même s'ils traduisent un réel effort en documentation.

! SP ! Les gardiens du Sceau – Tome 1, thriller historique de l’autrice Dominique Guenin, 465 pages officielles, auto-publié en juin 2019. Son roman est disponible en versions brochée et électronique (Kindle) sur le site d’Amazon mais également sur son site web. Je vous conseille vivement de vous y rendre pour vous tenir informés de son actualité.



Avant de commencer ma lecture, mes échanges amicaux avec l’autrice m’ont quelques peu intrigués. Alors, lorsqu’elle m’a demandé si j’étais certaines de vouloir partir à l’aventure et surtout à la recherche de la Vérité Absolue, j’ai tout de suite été attirée par l’idée de relever ce défi.



Très vite, j’ai remarqué que le côté historique prend le dessus sur la partie thriller. De ce fait, je peux comprendre que pour des novices en la matière comme moi, ce thriller historique soit trop riche en termes d’apports et de descriptions trop pointues voire complexes. Cependant, je me suis sentie embarquée dans cette histoire avec une certaine curiosité se nourrissant justement de ces précisions. J’en apprécie le soin que l’autrice apporte dans la transcription de ses connaissances. Cela me permet de m’immerger totalement dans ce récit que je trouve tout de même passionnant dans la manière dont il interroge notre acceptation et notre relation aux savoirs.

Tout le monde n’est pas prêt à entendre ou accepter certaines choses et c’est ce que ce roman pointe du doigt.



La détermination de Richard, le scientifique passionné, la solidarité de Rudy, son meilleur ami, nous laisse à penser qu’il existe encore une forme de trou noir au niveau de nos connaissances surtout quant il s’agit d’apporter des précisions sur des vies antérieures.

Pour coller au thème mystérieux des gardiens du sceau, les personnages mis en scène sont valorisés je trouve, par leurs personnalités parfois ésotériques et la diversité des lieux dans lesquels ils évoluent. Ainsi, chacun est complémentaire en terme de comportement mais également en terme de discipline dans laquelle il excelle. Je tire mon chapeau à Dominique pour la qualité extraordinaire des recherches menées en arrière-plan. Et ce qu’il y a de bien dans les personnes passionnées c’est qu’elles peuvent vous parler de la pluie et du beau temps de manière à ce que vous entriez totalement dans le récit.Ce fut le cas pour moi même si je l’avoue, certains passages ont été difficiles à comprendre.



On pourrait alors se sentir en décalage par rapport au niveau des connaissances mises en scènes. Cependant, il n’en ai rien. J’apprécie que le lecteur puisse être complice de la course poursuite qui se trame derrière les protagonistes principaux. Cette course à la vérité permet de soulever de nombreuses interrogations quant aux capacités de nos ancêtres et mêle une tendance (ou une croyance) que je qualifierai de religieuse tant les légendes qui nous sont contées révèlent des indices surprenants. Cette richesse humaine et planétaire sont largement exploitées dans ce roman.



Je remarque la présence de nombreux symboles comme la profondeur des eaux ou de la terre qui pourraient nous faire penser à un tunnel à parcourir vers notre inconscient.



La passion dans ce roman se traduit également, outre la recherche, par la passion à travers l’amitié et l’amour. J’aime beaucoup la subtilité des sentiments qu’éprouve Richard envers Candice. Ce n’est ni une manière brutale qui pourrait être lourde ni une amourette d’adolescent . Au contraire nous sommes confrontés à des sentiments dont le danger est le lien tout comme la recherche de la vérité en est le fil conducteur de ce roman. Soit, un amour passionné pour les découvertes historiques et un amour délicat d’humain à humain.



Le seul bémol que je pourrai y trouver est le rythme au niveau des actions et des courses poursuites qui parfois manquent un peu de dynamisme. Malgré tout, il y a énormément de rebondissements dans ce roman qui tiennent le lecteur en haleine du début à la fin. Nous voguons de découvertes en découvertes sans indices véritables sur les intentions finales de chacun. Il y a un véritable enjeu de temporalité au niveau de ce récit qui nous pousse à découvrir avant les personnages, le fin mot de l’histoire. Entre rivalité, harcèlement, enquête et découvertes surprenantes, j’ai beaucoup aimé cette course contre le temps qui nous signifie aussi l’empressement dans lequel nous sommes plongés au quotidien. Affirmer ses doutes, confirmer ses soupçons, proposer ou suggérer des théories contradictoires avec l’Histoire, s’avère très dangereux et Richard et son entourage en savoureront tout du long, les risques.



Je reste déconcertée par la fin de ce roman. Je ne sais pas encore déterminer si je suis prête u non à connaître cette vérité.



Je pense que ce livre n’est pas à la portée de tout le monde tant son contenu est dense. Cependant ne pas commencer cette lecture serait une grossière erreur tant il est riche en termes de questionnements quant à notre passé, notre présent et notre futur. J’apprécie la notion de transmission à la fois à travers cette vérité absolue et les transmissions entre les aînés et les nouveaux chercheurs qui questionnent nos limites.



Ce livre, je l’espère, vous fera vous perdre toute notion de temporalité ! Le mot de Dominique résume tout à fait cette chronique !



Le mot de Dominique

Pourquoi ce livre ? Parce que je pense qu’il interroge sur l’avenir de l’Homme en explorant un passé énigmatique qui pourrait être différent de celui qu’on croit. Parce qu’il relativise la place de l’Humain dans l’immense Histoire de la Terre et questionne sur sa relation avec la Nature.

La Science nous réserve toujours des surprises et se construit au gré des nouvelles découvertes. Qui sait si, dans un futur proche ou lointain, de nouveaux indices encore bien cachés, ne nous révéleront pas des vérités que nous ne pouvons même pas imaginer aujourd’hui…



Et vous l’avez-vous lu ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ?

Êtes-vous prêts ?



Je remercie chaleureusement Dominique pour m’avoir associée à sa démarche caritative à laquelle elle est sensible. Merci également de me donner l’opportunité de parfaire mes connaissances quant à une part de nos origines et de questionner notre capacité à accepter.
Lien : https://despapiersmaches.wor..

Après son passionnant ouvrage précédent « Un sourire pour Chuluun », aux Editions Red’Active, qui nous transportait en Mongolie intérieure, Dominique Guenin nous surprend de nouveau, avec cette fois un roman de suspense psychologique « soft » : « Où (qui) Est Stella Vigan », DG Auteure.

Je la remercie de m’avoir permis d’apprécier son nouveau roman de pure fiction dont l’enquête nous fait, en même temps, découvrir les villages et les magnifiques décors des Cévennes où l’auteure aime se ressourcer.



Christopher Baste est enseignant en école primaire à Meyrueis. Lors d’une sortie scolaire, il voir entrer, dans la petite chapelle de Saint-Chery du Tarn, une personne de son village, Stella Vigan, qui n’en ressortira pas.

Stella est une belle femme célibataire, proche de la cinquantaine, l’allure hautaine et toujours bien mise. On ne lui connaît pas de relation ni de proches depuis le décès de sa mère. Son père avait depuis longtemps quitté le foyer. Une femme intelligente et secrète qui intrigue et suscite les jalousies, au point que des rumeurs sur son compte la font passer pour une sorcière, une forme sournoise de harcèlement par les commérages.

À l’intérieur de la chapelle dont elle n’est pas ressortie, Christopher découvre un carnet de notes déchiqueté, une sorte de Journal intime dont il recueille jusqu’aux miettes sur le sol. Il en décryptera des bribes et des réflexions, sans savoir à qui elles étaient destinées.

Là commence le mystère ! Que lui est-il arrivé ? Et, dans une région accoutumée aux légendes de fées maléfiques, qui est réellement cette femme solitaire et mystérieuse ?

Toujours sans nouvelles trois jours plus tard, l’instituteur déclare sa disparition à la Gendarmerie, un vendredi soir. Devant la crédulité du militaire, rien ne sera entrepris avant lundi, un délai estimé suffisant, selon lui, pour qu’elle réapparaisse.

Stimulé à la fois par l’orgueil et la curiosité, Christopher va mener sa propre enquête, aidé par sa petite amie, Léana, une étudiante qui l’a rejoint pour le week-end.

Avec son écriture fluide et captivante, Dominique Guenin nous fait partager le suspense d’une enquête qui semble longtemps sans issue alors que l’échéance du lundi approche, date à laquelle la Gendarmerie s’appropriera l’affaire.

C’est mal connaître l’obstination de Christopher et de Léana. Alors que quelqu’un semble entraver leurs recherches et les suivre discrètement, ils vont tout faire pour que l’optimisme et la vérité l’emportent, pourquoi pas jusqu’au point de rétablir la véritable image de la disparue ? Stella n’avait-elle pas déclaré à un ancien amoureux : « La vie, comme l’eau, trouve toujours son chemin » ?

On se laisse porter par le suspense et l’approche délicate des personnages et leur dévoilement psychologique. Un très beau roman qui vaut le voyage à suspense au cœur des Cévennes !

L’auteure réussit la gageure d’allier littérature, poésie et plaidoirie pour une transition énergétique raisonnée dans un récit qui nous propulse de Marseille à la Mongolie intérieure, plus précisément dans la ville de Baotou reconstruite après un tremblement de terre.

Cyrielle, une jeune journaliste, se porte courageusement au secours de Francis, son ami d’enfance un peu trop curieux sur les méthodes des entrepreneurs chinois et qui ne donne plus signe de vie. Avec l’aide de Bruno, un journaliste local, elle se lance à sa recherche. Ce dernier tempère les ardeurs de la jeune femme dans un pays où il ne fait pas bon se mêler des affaires de l’industrie locale et des patrons tout puissants.

À Baotou, l’exploitation des terres rares fait vivre la population et la législation est peu regardante sur la santé des personnels dans les usines de traitement de ces métaux précieux.

Au travers de l’enquête des journalistes, on découvre la vie rude des autochtones, de Liang, employé d’usine, et de son fils Chuluun, aux poumons touchés par la pollution, et aussi d’une petite fille, Enkhetuya, que le garçon rencontre au marché et qu’il n’oubliera pas, et aussi de Sinchin, un architecte mis à l’écart pour avoir dénoncé les abus. Est-ce un bon signe pour l’avenir ? Même les enfants prennent conscience des dangers qu’affrontent leurs parents pour se rallier à l’idée d’une industrie plus humaine, respectueuse des populations.

L’auteure n’épargne pas les consommateurs que nous sommes, avides de nouveautés et de confort, qu’il s’agisse de téléphones cellulaires, de batteries et autres instruments qui fonctionnent aux terres rares. Par nos actes et notre silence, nous tolérons voire encourageons ces pratiques.

L’intrigue chemine ainsi en compagnie de personnages attachants qui infiltrent peu à peu ces lieux pollués où œuvrent des personnels peu considérés, jusqu’à la découverte de la vérité.

Un beau tour de force littéraire de Dominique Guenin, entre prise de conscience et suspense.

Le mieux est de découvrir par la lecture cette belle histoire, en dépit de son versant tragique, et pourtant

- Une intrigue touchante et pleine de suspense sur un sujet d'actualité : l'écologie⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️

Appréciant la plume de l'auteure, j'ai pris sans hésitation son dernier roman qui nous fait voyager en Chine et en Mongolie. Le personnage de Cyrielle, sa journaliste, a un caractère fort et déterminé, et tout comme les autres, dont le jeune Chuluun, il est attachant. Celle-ci se lance dans une enquête délicate concernant son ami disparu. Le soutien de Bruno, un journaliste du cru, lui est essentiel : il la tempère alors qu'elle se jetterait facilement dans la gueule du loup... Les déchets toxiques d'une usine sont au cœur du sujet et nous suivons les deux enquêteurs avec beaucoup d'intérêt.

Outre les nombreux rebondissements de cette histoire, la plume de l'auteure est tour à tour poétique et d'une grande précision concernant les "terres rares", ces métaux qui permettent de fabriquer nombre de nos outils technologiques.

Une réelle réussite ! Je me suis régalée !

Cyrielle, une journaliste française se rend en Mongolie Intérieure suite à l'appel désespéré de Francis, son ami d'enfance. Pourquoi cette peur indicible lors de son dernier coup de fil ? Que lui est-il arrivé ? Cela, je vous laisse le découvrir en vous certifiant que vous ferez de très belles rencontres dans ce roman qui m'a ému au plus haut point ! Cyrielle va découvrir Baotan et ses secrets, une ville entièrement reconstruite après le tremblement de terre de 1996. Mais derrière cette ville de béton se cache un effroyable secret ; celui d'une entreprise chargée de filtrer les "terres rares" afin d'en extraire les "métaux rares". Cette usine qui forme une gigantesque verrue dans le paysage de la Mongolie Intérieure avec ses cheminées qui "crachent leur venin grisâtre" et qui déverse les produits hautement toxiques dans un lac artificiel, le Weiquang Dam. Non seulement le rouleau compresseur chinois s'acharne à dissimuler cette horreur, encore cherche-t-il à éradiquer toute trace de conscience mongole en supprimant les déités et les coutumes tel le chamanisme puni de mort. Seul compte le profit et le rendement et tant pis pour les retombées catastrophiques en matière d'environnement climatique et sur la santé de la population mondiale.

Mais dans cet enfer pollué, Cyrielle va faire de très belles rencontres. Chuluun, un enfant malade des poumons à cause de la pollution et qui sera en quelque sorte le fil conducteur de ce roman ; Enkhetuya, une petite fille au sourire" pur, chaleureux, caressant, généreux et divin, une parure plus riche que tout l'or du monde" ; Mankhayana la chamane qui vit à l'écart, dans la steppe, convoquant les Ongods ( esprits) au son de sa guimbarde (sa monture pour voyager au pays des esprits) et se battant afin que perdure la mémoire mongole. Le contraste est saisissant entre la "steppe moelleuse aux senteurs exquises, douces comme des caresses, exprimant la force de la Nature Mère" et la ville-usine sans âme. Des phrases fluides, très bien construites, poétiques et chamarrées comme les petits marchés de villages mongols, un suspens parfaitement entretenu par l'auteure qui m'a emporté dans son histoire et qui nous envoie un message des plus précieux, à savoir que les rencontres ne sont jamais anodines et qu'il ne tient qu'à nous de leur donner suite en écoutant la voix de notre cœur.

Quelques phrases que je vous livre parmi beaucoup d'autres :

_"Le ciel s'agenouille pour épancher sa tristesse, se mêlant aux fumées insolentes qui l'effleurent sans remord"

_"Le passé douloureux de cet homme est encore vif sur son visage creusé de sillons indécents comme autant de pénitences inaltérables."

J'espère vous avoir donné l'envie de dévorer ce magnifique roman qui est l'un des plus beaux qu'il m'ait été donné de lire depuis bien longtemps. Alors, lisez UN SOURIRE POUR CHULUUN !

UN VOYAGE ÉTOURDISSANT

Richard est un géologue passionné par la plongée sous-marine.

Il a ramené du fond de l’océan un mystérieux artéfact : le morceau d’une tablette sur laquelle est gravé un message dans une langue inconnue. L’âge de l’objet remet en cause toutes nos connaissances sur l’histoire de l’humanité.

Richard n’est pas pris au sérieux par le monde scientifique mais un mystérieux milliardaire cherche à acquérir sa découverte et irait jusqu’à l’assassiner pour cela.

On va suivre Richard dans sa fuite et sa recherche du sens du mystérieux message venu d’un lointain passé. Il est aidé en cela par Rudy, son meilleur ami et son ancien professeur, et une séduisante journaliste, Candice.

Grâce à elle, il va faire la connaissance des 15 « Gardiens du Sceau », descendants de druides Irlandais.

Quel rapport y-a-t-il entre les Védas indous et les cultures celtiques irlandaises ? Le temps, les époques, les civilisations, les légendes et les mythologies se mélangent, s’entremêlent, se télescopent.

On voyage beaucoup. Même les continents voyagent !

On apprend beaucoup, tant la documentation est pointue et foisonnante.

J’ai aimé retrouver l’ambiance de mes auteurs de BD préférés : Enki Bilal, Blake et Mortimer, certains des meilleurs Tintin, même. Un thriller entre polar et BD...

À la fin on se pose la question : « Et si c’était vrai ? » ...

Ça fait frissonner.

Le hasard a fait que j’ai lu ce roman en parallèle avec la trilogie de l’ouvrage de « Yuval Noah Harari » : « Sapiens Une brève histoire de l’humanité »... où on découvre que c’est en train de devenir vrai... Ces milliardaires fous sont à l’œuvre. Que nous réserve l’avenir ? Il y a de quoi trembler...

« Les Gardiens du Sceau », un roman peut-être visionnaire. À lire et à méditer.

J’ai enfin pris le temps de découvrir la plume de Dominique Guenin avec son roman Les gardiens du Sceau et je n’ai pas été déçue !

Ce roman est difficile à classer dans une catégorie tant il regroupe de genres différents : aventures, histoire, légendes, ésotérisme, science-fiction, action…

Au départ, Richard un jeune spéléologue, trouve un mystérieux artefact pendant l’une de ses explorations. Suite à cette trouvaille, il présente sa théorie lors d’un congrès scientifique. Mais tout cela va l’entraîner dans une aventure digne d’Indiana Jones !

Après un mauvais choix qu’il a fait, le héros va pouvoir compter sur son précieux ami Rudy pour le sortir de là mais également sur l’aide d’une jeune journaliste. Celle-ci va le diriger vers une étrange confrérie en Irlande qui va s’avérer être plus impliquée qu’on aurait pu le croire.

On suit le héros à travers sa quête et on fait les découvertes en même temps que lui au fil des pages, parfois septique, parfois émerveillé. Il peut compter sur ses amis et collègues pour avancer dans ses recherches mais hélas il y a une ombre au tableau qui a de multiples visages. En effet, un homme puissant prêt à tout pour s’approprier ses recherches va mettre des bâtons dans les roues de Richard.

Je n’imagine même pas le nombre d’heures de recherches qu’il a fallu à l’auteure pour écrire ce roman ! Tout est détaillé avec soin et précision et cela apporte beaucoup de réalisme à l’histoire mais contribue également à l’addiction. Le scénario est rythmé et riche en rebondissements. Les personnages arrivent progressivement sur la scène et cela nous permet de ne pas nous perdre. L’enquête principale est le fil conducteur qu’on ne veut pas lâcher une fois qu’on a commencé cette lecture. L’auteure nous promène entre action et émotions, recherches sur le terrain ou dans des documents anciens, personnages attachants ou menaçants. Le mystique et la science se côtoient sans fausse note.

Entre aventures, recherches, énigmes et légendes du passé, on est emporté avec délice dans cette enquête historico-ésotérique. Je me suis régalée avec cette lecture et j’ai hâte de lire la suite maintenant…


Lien : https://rimedebervuy.wixsite..

Une enquête qui nous pousse à découvrir les alentours et les personnages de Meyrueis.

Une leçon de vie sur nos préjugés et projections que l'on fait (hélas) tous , sur ceux qu'on ne connaît pas, même si on le croise tous les jours.

Comprendre l'autre, c'est lui faire une place de choix dans notre cœur. Certains sont prêts, d'autres s'effrayent.

Masse critique.

Belle découverte grâce à masse critique et à Babelio. Plaisir de découvrir une maison d'édition Red'Active/ et un auteur Dominique Guenin.

Documentaire et roman social à suspens s'entrelacent, le second permettant de rendre le premier moins austère, car le sujet est grave; les ravages de l'extraction et des opérations chimiques nécessaires à l'obtention de terres rares pures, lesquelles sont utilisées dans toute la technologie contemporaine, des téléphones aux voitures électriques, et de nombreux autres "objets" dont nous sommes devenus dépendants.

Le roman sous forme d'enquête journalistique nous entraîne dans les dédales de ces industries, les enjeux financiers, la casse sociale, humaine et environnementale.

Cette lecture m'a vraiment beaucoup intéressée car nous apprenons beaucoup sur les terres rares (les renvois de fin de pages sont intéressants et citent les sources, pas du tout gênants) .

L'aspect traditionnel de la vie des habitants de la Mongolie Intérieure est évoqué, et sert le récit romanesque.

L'écriture est agréable, le choix du récit chronologique se prête bien à la forme "enquête". Seules quelques envolées lyriques m'ont semblé superfétatoires (ex: p243), heureusement elles ne sont pas très nombreuses!

Une lecture que je conseille et que je vais faire circuler.

Merci encore à Babelio, à l'éditeur et bien sûr à l'auteur.

Gros coup de cœur pour ce roman sur fond de catastrophe écologique et économique. Une lecture qui informe et questionne sur ce qu'on sait sans savoir, et surtout, sur ce qu'on ne veut pas voir.



Si j'ai été déçue par la fin quelque peu rapide et par certains aspects attendus de l'intrigue, il n'en reste pas moins que j'ai dévoré le bouquin en une soirée. Je n'ai tout simplement pas su le lâcher. Le style d'écriture est agréable, clair et dynamique grâce à ses phrases courtes.

Ensuite, bien que les personnages soient par moment trop clichés, voire idéalistes et idéalisés, ils restent attachants et font le job. On se questionne au même rythme qu'eux, on se surprend à avoir les mêmes réflexions "bateaux" et on s'émeut de concert.



En bref et en conclusion, je remercie Babélio, les éditions Red'Active et Dominique Guenin (que j'ai hâte de lire encore!) pour cette découverte et je conseille la lecture de ce roman!

Recherche d’un ami, suspens, Mongolie Intérieure, Terres Rares, pollution, transition écologique, amitié, chamanisme…

Ce livre est fort utile car il suscite bien des interrogations et lève le voile sur les solutions que nous apportons au dérèglement climatique. La face obscure, de nos choix énergétiques semblant plus vertueux que les précédents, est révélée. Je ne peux que louer l’utilisation d’une histoire à suspens pour toucher le commun des mortels et réveiller l’esprit critique de chacun. Les conditions de production et de recyclage des matériaux sont oubliées et seule leur utilité est mise en avant. Nous agissons, soi-disant, pour sauver notre monde mais en créant des solutions encore plus désastreuses au niveau de la pollution de notre Terre pour les réaliser et en oubliant les risques qui vont en découler ! Il ne faut pas oublier que les métaux rares ne servent pas uniquement à la transition écologique. Ils sont aussi présents partout dans la plupart des appareils : téléphone, ordi… que nous utilisons tous les jours et dont peu de gens, il faut le reconnaitre, seraient prêts à se séparer. De plus ces outils servent désormais à la fabrication d’objets plus simples. Comme le dit Dominique Guénin, « La véritable intelligence n’est pas de produire à tout prix en fermant les yeux sur les conséquences, mais de savoir vivre en respectant notre planète, si belle et surtout unique. »

Le thème traité : l’exploitation et le traitement désastreux des Terres Rares nous ouvre les yeux mais je n’ai pas réussi à entrer complétement dans ce roman et je n’ai pas eu une totale empathie avec les personnages et je le regrette.

Chuluun est un ado bien sympathique, en plus il est malade et pourtant, je n’ai malheureusement pas été englouti dans son univers même avec le sourire d’Enkhetuya.

Cyrielle et Bruno, journalistes mènent leur enquête pour retrouver Francis qui a disparu en Mongolie Intérieure. Ce dernier, au travers d’intrigants messages, a semé des indices pour guider son amie Cyrielle. Certains m’ont semblé si évidents, d’autres étaient insolubles sans la révélation de la clef. Ces faits n’ont pas contribué à mon immersion totale dans l’histoire

L’enquête pour retrouver Francis est intéressante et je l’ai suivi pas à pas, mais sans frénésie.

L’abnégation totale d’un personnage m’a semblé un peu surréaliste.



La fin m‘a semblé un peu rapide : beaucoup de révélations, d’explications en moins de 10 pages !



Cependant, je ne peux que remercier les éditions Red’active, l’auteure Dominique Guenin et Babelio de m’avoir permis de lire ce roman, qui bien que fictif, est un révélateur des aberrations de notre monde. J’avoue que personnellement, je m’étais plus interrogée sur le recyclage des batteries, par exemple, que sur le mode de production des matériaux entrant dans leur fabrication, certainement du fait de l’éloignement des sites d’extraction.

Donc Bravo pour la diffusion du message et opération réussie : des interrogations sont posées. Félicitations à vous, Dominique Guenin !



Un petit aparté sur la présentation du livre.

Le résumé du livre est sur la première de couverture et l’illustration sur la quatrième. Une inversion qui est assez originale et qui n’est pas pour me déplaire. Inutile de retourner le livre pour lire le résumé !

J’ai aussi apprécié l’étiquette Suspense qui permet de connaitre la catégorie du roman d’un simple coup d’œil ! Tout est clair et net. Une bonne idée de démarcation pour la maison d’édition.

J’ai découvert avec beaucoup de plaisir le livre jeunesse de Dominique Guénin, J’étais là quand Charlemagne a inventé l’école (ou presque). Ce livre est conseillé à partir de 9 ans et je pense que c’est bien ciblé. Léïa a calé dans la durée, mais elle se souvenait très bien du début de l’histoire. Nous le reprendront ensemble d’ici quelques mois puisqu’elle a seulement 7 ans.

Je l’ai donc lu seule, et j’ai aimé apprendre ou réviser l’Histoire, découvrir plein d’anecdotes et de petits détails de la vie du quotidien des personnages à cette période.

A travers les yeux de la petite chienne Yorka, qui est très attachante, on découvre une période historique finalement méconnue, le règne de Charlemagne et comment l’école a été fondée. Ce point de vue animal apporte beaucoup de légèreté à l’histoire et la rend accessible à un jeune public.

La plume est délicieuse, l’histoire bien construite. Il y a des animaux, des personnages fictifs et d’autres réels qui nous semblaient inaccessibles par leur charisme et leur fonction, mais qui deviennent très humains grâce à la présence de Yorka, qui apporte tendresse et légèreté à travers ses espiègleries. Après tout, Charlemagne, avant d’être un roi, était également un homme.

On suit donc le parcours de ce grand roi, ainsi que la création des écoles qu’il a voulu pour tous, les riches comme les plus pauvres. Les informations nous sont fournies tout au long de l’histoire, avec précision, mais sans lourdeur. On sent que Dominique s’est beaucoup documentée et on peut lui faire confiance ! Les notes permettent même d’approfondir certaines choses. On a accès à tout un pan de l’histoire, ce qui fait une bonne révision pour les plus grands et de belles découvertes pour les plus jeunes. Une immersion réussie dans cette période nébuleuse avec beaucoup d’humanité et de légèreté, sans négliger l’aspect historique.

Une belle façon de compléter ses cours à l’école tout en découvrant la lecture.


Lien : https://rimedebervuy.wixsite..

C’est avec beaucoup de plaisir que je me suis plongée dans ce roman jeunesse où on sent tout un travail de recherche, mais aussi l'amour de l’Histoire!

Dans ce livre, le fictif se mélange au réel, on apprend sans s’en apercevoir, grâce à l’originalité du personnage principal vraiment attachant (Gros coup de cœur sur le narrateur).



Ce livre raconte entre autre comment et pourquoi Charlemagne a rendu l’école accessible à tous. On découvre aussi la vie au royaume, des combats à mener (ça ne nous les raconte pas, mais c’est surtout une mention pour dire que Charlemagne ne s’occupait pas uniquement de l’apprentissage).

L’histoire imaginée par l’auteure est vraiment intéressante et nous rappel un intérêt pour le passé. C’est bien adapté pour les enfants, le vocabulaire correspond avec des mots compréhensibles mais riches, je ne peux qu’encourager les enfants à découvrir ce petit roman !



En résumé, c’est une histoire ludique, adaptée et très agréable !
Lien : https://www.dominiqueguenin...

Et s’il y avait eu quelque chose… avant ?

Que dire sinon que cette m’a immédiatement fait replonger dans les délices de tous les romans d’aventure sur des civilisations secrètes et disparues, de Mu à l’Atlantide, lues dans mon adolescence et ma vie de jeune adulte. C’est décidé, je m’y remets ! Sans oublier les BD : « Les 7 tours de Cristal » ou « Le secret de l’Antarctique » avec Bob Morane ; « Le rayon U » de Blake et Mortimer ; « L’île de la résurrection » de Jugurtha, « La mémoire du fond de l’œil » de Ian Kalédine ou encore « La molaire de Mindanao » de Marie Meuse et bien entendu mon ami Corto Maltese.

Voilà un roman de quête classique très bien écrit, extrêmement bien étayé de sources tant scientifiques que relevant des mythes fondateurs des civilisations perdues, sans oublier la petite pointe d’ésotérisme. Quel est ce message indéchiffrable qui a traversé le temps, faisant exploser toutes les vérités communément admises ? Ajoutons des personnages de très belle facture… Tout est prêt pour réaliser un film. Bravo Dominique GUENIN, j’ai adoré ! Pardonnez-moi, je dois vous laisser, car je cours lire la suite !

Un roman magnifique

Tout au long de ma lecture, j’ai été captivée par le roman de Dominique Guenin. Histoire, légendes, thriller, enquête, science… tout se mêle pour former un roman époustouflant. Le propos est richement documenté tout en étant accessible. L’écriture est tout simplement sublime, chaque mot trouve sa place naturellement.

Je ne peux que vous enjoindre à le lire.

Quelle joie de retrouver Candice, Richard, Rudy et tous les autres… Cette histoire semble tellement réelle malgré ses aspects étranges qu’on se sent orphelin une fois la lecture finie. C’est comme si on avait laissé partir des amis.

Dans ce second tome, tous les ingrédients d’un bon livre sont présents : mystères, enquête et quête, suspense, personnages attachants, d’autres plus inquiétants…

La plume de l’auteure est toujours aussi délicieuse et fluide. La lecture glisse facilement et nous plonge donc au cœur de l’intrigue. Entre mythes, légendes et recherche de la vérité, on navigue entre les époques. Mais ces flashs backs sont-ils une part de notre histoire ou un simple fantasme rêvé ?

La trouvaille d’un artefact ancien a déchainé toutes les passions et conduit chacun des protagonistes vers son destin. Difficile de croire à des coïncidences… Certains personnages vont révéler le meilleur d’eux-mêmes, d’autres, le pire. On ne sait plus à qui on peut réellement faire confiance.

Bref, une duologie historico-ésotérique et une magnifique aventure que je recommande à tous les passionnés de quêtes incroyables ! Action, passion, mystère, enquête, on se régale !

Bravo, Dominique, pour ce bel univers que tu as su créer au cœur de notre réalité !


Lien : https://rimedebervuy.wixsite..