— Je suis désolé, Louise, mais je ne comprends rien à ce que tu me racontes. J’ai presque plus ma tête à moi, depuis toi !
— Ta tête ! Parlons-en de tête ! Regarde-toi ! Lui dis-je en l’empoignant par le bras et en l’emmenant devant un grand miroir accroché sur un mur du salon.
— Et bien… Quoi ma gueule ! Qu’est-ce qu’elle a ma gueule ?
— Ah non ! Soit cohérent, s’il te plaît. Tu es Johnny ou Cabrel ? J’aimerais savoir… c’est déjà assez compliqué comme ça. » !