[...] Les bavures sont inévitables. J’en ai déjà géré, j’en gérerai encore. Je n’ai alors que deux soucis : amortir le choc vis-à-vis de la population du ghetto, ce n’est pas toujours fait de façon satisfaisante, il faut bien l’admettre. Et assurer la cohésion sans faille de la machine policière, quel qu’en soit le prix. Cela, nous savons mieux faire.