AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Domino Milot (5)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Ma cinquième décennie - Naissance

C'est ainsi que je termine la lecture de la cinquième Décennie de Domino Milot, que j'ai rencontrée lors du salon du livre de Vendôme et avec qui j'ai lié une amitié. Cette dame au grand cœur, a beaucoup souffert tant moralement que physiquement. Je me reconnais dans certains passages, tels que la maladie dont elle est touchée. Elle nous livre ici son combat et sa vie avec sincérité.
Commenter  J’apprécie          50
Première décennie : Survivre

On tombe dans un univers sombre, violent et ingrat qui nous oblige à nous dire que , finalement nos petits problèmes ne sont rien comparés à l'histoire de Domino.

Gros bémol concernant l'écriture, le texte est sous forme de pavé, succession indigeste de phrases interminables, vocabulaire restreint de l'auteur et que dire de l'éditeur qui n'a même pas pris la peine de corriger les fautes de grammaire et d'orthographe...
Commenter  J’apprécie          20
Première décennie : Survivre

Je viens de terminer 1ere décennie! Mon dieu, comment des adultes peuvent infliger une telle souffrance physique, psychologique à une enfant ? Comment des familles peuvent se détester et se mépriser à ce point? Je sais qu'on ne peut pas choisir sa famille mais qu'on peut choisir ses amis. Je suis bouleversée par cette autobiographie, sachant que j'ai rencontré son auteur Domino Milot qui est une femme belle, généreuse avec un sourire grand et franc. Quel courage Madame, quelle ténacité, quelle volonté de vivre et d'aimer! j'encourage mes amis facebook et ceux que je vais rencontrer dans les prochains jours à lire cette autobiographie.
Commenter  J’apprécie          10
Première décennie : Survivre

« Première Décénnie : Survivre » m’avait été présentée par l’auteure Domino Milot comme la première décennie d’une saga familiale s’étendant sur 40 ans, il s’avère que nous sommes plutôt dans une autobiographie ancrée dans la réalité. Et quelle réalité ! En effet les 10 premières années de vie de Domino Milot relève du calvaire.



Elle est abandonnée dès son plus jeune âge par sa « mère », son père se révèle plutôt absent (en particulier les premières années de sa vie) et coupablement bien trop souvent passif même s’il lui arrive d’avoir quelques sursauts pour soutenir ou aimer sa fille. Des familles d’accueil (parfois des oncles et tantes) plus ignobles les uns que les autres (sauf un couple) et une belle famille tout autant à jeter mis à part une vibrante exception. Quant à sa belle-mère affligée d’une phobie des microbes et de la saleté, elle a tout de même - parfois - quelques bons moments.



L’auteur nous déverse donc tous les souvenirs de ses 2-10 ans dans une nécessité de dévoiler son Enfer, mais sans aucun doute aussi, de s’en libérer (n’ai-je pas fait de même de manière dissimulée dans le Cycle de l’Éveil !). Sa logorrhée est incontestablement chargée d’émotions. Même si le pardon est magnifiquement évoqué aux deux tiers du livre, il me semble évident qu’une rancœur légitime est présente. Certains actes ne pourront jamais être pardonné à 100%, ce quelle que soit la volonté de la victime. Un sentiment qu’au vu de ma propre expérience, je comprends et partage. Les mots envers ses tourmenteurs sont souvent durs et sans concessions, même pour sa belle-mère qui semble pourtant avoir fait prendre conscience au père de la situation dans laquelle était sa fille dans sa dernière famille d’accueil (un oncle). Celle-ci était (est encore ?) clairement malade ; sa psychose et ses TOC en résultants sont une réalité sans doute très mal considérée il y a 40 ans.



Un livre fort sur le fond, plus faible à mon goût sur la forme. Clairement l’auteure a choisi de nous livrer chronologiquement ses souvenirs comme ils lui venaient.



Ainsi, nous nous confrontons à 130 pages non chapitrés, aux paragraphes systématiquement longs, voire très longs (jusqu’à 3 pages). Et les phrases sont du même acabit, longues, trop longues, jouant des virgules, jamais de ce point-virgule que nous sommes quelques-uns à apprécier, en particulier lorsque le sujet change dans la même phrase. Parfois (rarement) la lecture en devient un peu confuse. De même, les dialogues sont malheureusement intégrés aux paragraphes ne permettant aucune aération du texte. Par ce choix, l’écriture devient visuellement compacte ce qui alourdit la lecture qui manque de souffles.



D’autre part, si le récit se déroule globalement dans le passé, avec parfois des incartades abruptes sur les sentiments de l’auteur au moment où elle écrit, le temps de na ration passe du présent au passé sans justification.



Et comme toujours, je ne suis pas très fan des « témoignages » de lecteurs en fin de livre. Sur un site oui, pas à la suite du texte.



Je regrette donc le style et pourtant, je ne peux m’empêcher de me demander si le texte aurait été aussi fort s’il avait été retravaillé et structuré.



Au total, « Première décennie » est un vibrant et douloureux témoignage sur des événements impossibles à admettre d’autant plus à notre époque. Une maltraitance physique et psychologique qui justifie très largement le sous-titre de survivre, car clairement l’auteure Domino Milot est une survivante, sans aucun doute poursuivie aujourd’hui encore par ces horribles cicatrices du passé. Comment se construire sereinement après tant de vilenie ?



Un récit puissant, quelque peu affaibli par la forme d’où ma note mitigée.
Lien : http://lecycledeleveil.e-mon..
Commenter  J’apprécie          00
Deuxième décennie : Adolescence refusée

La 1ere décennie était dure à lire, mais la seconde l'est tout autant.

Une adolescence foulait aux pieds des adultes, détruite par la bêtise adolescente "testotéronée", implacablement la santé s'affaiblit et pour achever le tout, l'humiliation d'un mariage non voulu.

Oui, je l'ai lu de bout en bout, et je me rends compte que même encore aujourd'hui de femmes, des enfants, des adolescents, fille ou garçon peuvent être pris pour des objets, des esclaves !!!

Je vous assure que quand on sort de ce livre, on réfléchit à ceux qui nous entoure, à l'amour que l'on reçoit et que l'on donne. Mais aussi, à tout ceux qui souffrent en silence et qu'on ne se rend même pas compte que la misère, l'humiliation est tout proche de nous.

Alors soyons objectif, la femme qui écrit cette autobiographie, vide son sac et elle le dit elle même. Elle en souffre, parfois, elle nous fait des apartés pour nous dire combien même après des décennies, cela la touche encore. Ce livre est à lire comme si une amie nous confiait sa vie en parole.

Il faut le lire, car vous en sortirez peut être abattu juste après lecture, mais après réflexion, vous trouverez la force d'être meilleur et de ne surtout pas faire subir ne serait ce qu'une parole déplacée à votre entourage.

Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Domino Milot (11)Voir plus

Quiz Voir plus

Thérèse Raquin

Où est née Thérèse Raquin?

en Algérie
Au Maroc
En Tunisie
en Libye

24 questions
1292 lecteurs ont répondu
Thème : Émile ZolaCréer un quiz sur cet auteur

{* *}