Art Keller sort de la jungle guatémaltèque tel un réfugié.
Il a laissé derrière lui une scène de carnage. Dans le petit village de Dos Erres, des corps s’entassent, certains à demi consumés parmi les cendres encore fumantes du bûcher où on les a jetés, d’autres dans la clairière où ils ont été abattus.