Londres. Guerre froide.
« Je viens de constater qu’une plaisanterie passable éculée n’a rien perdu de son actualité : ‘’Ce pays [Angleterre] possède le meilleur service de renseignements du monde : le service russe.’’ »
Ah celle-ci je l’adore ! quand je pense qu’elle était déjà éculée en 68, ils étaient sans doute vachement bons depuis un sacré bout de temps les services de renseignements russes.
Hunter, un journaliste canadien un peu ivrogne et amoureux d’une polonaise se trouve embarqué dans une histoire d’espionnage visant à récupérer un microfilm et à faire exfiltrer de Pologne des individus dont l’un serait un agent « très expérimenté » pour l’ouest. Mais qui est qui, qui travaille pour qui ? …jeu de dupes. Agent, agent double, agent triple. J’ai la berlue ! Sir, Mon whisky, please.
Cela se lit très bien, une écriture fluide et date de 1968 (et 69 pour la version française parue dans la Série Noire). L’auteur fait un bon et très honnête roman d’espionnage, simple mais efficace. Auteur atypique, Donald MacKenzie, né en 1918 et mort en 1993 a été dandy, voleur, puis écrivain en tôle.
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les services secrets anglais sont confronté à une hécatombe d,agents. il vienne d,en
perdre sept en un mois. a cause d'une taupe au sein de leur service. leur seule chance réside dans un film, enfermé dans un coffre fort dans le bureau des services secrets allemand.
il font affaire appel à hendry un ancien capitaine des commandos pendant la deuxième guerre, et qui c'est reconverti comme cambrioleur .mais le problème c'est
que a cause d'un coup monté il vient d'être
condamné à douze ans de prison.
il vont le faire sorti, en lui proposant qu'il cinq mille livres.et la révision de son procès
mais ceux qu'il ont pas prévu c'est qu'une
fois dehors hendry , va tout faire pour se disculpé.
un bon suspense, c'est nerveux et l, intrigue tient la route.👍
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