Ces étrangères ne possédaient rien et, du coup, ne pouvaient se permettre de refuser un client, quelles que soient ses exigences. Elles (et les accros à la drogue) étaient les pires, acceptaient n’importe quoi, pouvaient être forcées de faire n’importe quoi. Totalement réduites à l’esclavage, elles étaient victimes des pires sévices et la plupart étaient porteuses des plus redoutables maladies.