Notre mère est toujours aussi mince et belle qu’à l’époque où elle était la « It Girl » de sa génération, surtout en photo. Elle a été la muse des plus grands photographes, notamment de mon père, le onzième comte de Trevethick. Il était fou d’elle. Elle l’a épousé pour son titre et sa fortune. Quand elle l’a quitté, il ne s’en est jamais remis. Il est mort le cœur brisé, quatre ans après leur divorce.