Elle se croyait si infiniment supérieure à lui qu'elle négligea, une à une, toutes les occasions d'affermir son empire. Il était beau et indolent; il devait donc être stupide. Il était pauvre : jamais, par suite, il n'oserait critiquer sa bienfaitrice. Il était passionnément amoureux; elle pouvait donc n'agir qu'à sa guise.