- Tu es une fille qui travaille, ne l'oublie pas. Alors, pas question de nuits gratuites.
Elle paru résignée à se rallonger sur le lit, puis elle se redressa et noua les bras autour de mon cou.
- D'accord, pas de nuits gratuites, souffla-t-elle. Mais avant de partir... le coup de l'étrier ? La nuit n'est pas encore finie.