J’avais envie qu’elle ne soit qu’à moi. De ne la partager avec personne. Et peut-être même qu’on finirait par se rapprocher, et qu’elle ne voudrait plus partir.
Certes, je prenais mes rêves pour la réalité, mais on avait bien le droit de rêver, de temps à autre, non ?
Et quel joli rêve.