Qu'est-ce que lire, en dernière instance, si ce n'est un échange de pensée entre écrivain et lecteur ? Si le livre entre dans l'esprit du lecteur tel qu'il a quitté celui de l'écrivain - sans aucune des additions et modifications inévitablement produites par l'irruption de nouveaux corps de pensées -, alors il a été lu en vain.(p.9)