Sur le film d’Isao Takahata (2013), Princesse Kaguya :
Parmi les nombreuses scènes d’une qualité comme seul Ghibli sait en concevoir, on retiendra un long plan où l’héroïne, courant éperdument, se défait un à un de ses kimonos (abandon métaphorique de sa condition humaine) ainsi que la séquence finale où elle est enfin réunie à sa famille céleste.
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